

phoenix73
MembreRéponses céées sur le Forum
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Wahooo bon question à la con mais je comprends toujours pas ce qu’est être Queer. Donc si quelqu’une peut m’expliquer, je prends
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Ça tombe bien la rose a fait ses carreaux y’a pas longtemps, je testerai !
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phoenix73
Membre25/08/2025 à 21:36 en réponse à: Le masculin l’a-t-il toujours emporté sur le féminin ?Bon je ne vais pas mentir, eu un coup de pouce de l’ia parce que j’en aurais eu pour 4 h pour reprendre mes lectures sur différents sites. Je vous ai épargné certaines théories sur les couleurs mais rien de concluant scientifiquement.
La psycholinguistique s’interroge sur les mécanismes mentaux et les structures cérébrales qui permettent l’usage du langage, la sociolinguistique explore les motivations et les causes sociales des variations linguistiques. La règle grammaticale elle-même est un fait sociolinguistique, historiquement ancré dans des hiérarchies sociales. En revanche, l’impact de cette règle sur les représentations mentales des locuteurs relève directement de la psycholinguistique.
La règle grammaticale française selon laquelle le masculin l’emporte sur le féminin n’est pas une loi linguistique immuable ou « naturelle », comme l’a expliqué @inframince. Avant le XVIIe siècle, d’autres règles d’accord étaient courantes, notamment l’accord de proximité, qui consistait à accorder un adjectif ou un participe avec le nom le plus proche (par exemple, « le maître et les écolières sont sorties »). Et tout le reste est vérifié avec différentes sources, tout ça pour la « noblesse supérieure du mâle sur la femelle ».
Des études indiquent également que l’accord de proximité n’a pas complètement disparu:
Pour l’adjectif épithète et le déterminant qui précèdent le nom. Par exemple, des tournures comme « certaines étudiantes et étudiants ». Cela montre que le principe de la prédominance du masculin n’a pas été absolu et qu’il est en réalité le résultat d’une ingénierie linguistique historiquement datée, et non d’un développement que je qualifie de « naturel ».
Des recherches ont établi que l’utilisation de formes masculines pour désigner un groupe mixte (par exemple, « les participants ») génère des représentations mentales déséquilibrées, majoritairement en faveur des hommes. Les locuteurs ont tendance à associer par défaut le masculin générique à une image mentale masculine, et l’image féminine est moins accessible sur le plan cognitif.
Même les termes qui n’ont pas de marque de genre grammatical explicite (comme « l’adulte » ou « les scientifiques »), n’échappent pas à ce biais. Des expériences mesurant le temps de traitement cérébral ont montré que le cerveau associe plus facilement ces termes aux pronoms masculins (« il ») qu’aux pronoms féminins (« elle »). Cette asymétrie de traitement suggère que le cerveau, confronté à un terme non marqué, a par défaut un biais qui favorise l’interprétation masculine. Les auteurs d’une étude du CNRS suggèrent que cela pourrait être dû à la forte association CULTURELLE et LINGUISTIQUE entre ces termes neutres.
Le débat sur l’écriture inclusive est au cœur des préoccupations sociales et linguistiques en France, soulevant des arguments passionnés contre son usage, notamment son illisibilité, son inesthétisme et son caractère artificiel. Des critiques soulignent également les obstacles qu’elle représente pour l’apprentissage de la lecture chez les enfants et son incompatibilité avec les logiciels de lecture pour les personnes en situation de handicap visuel.
Mais une analyse psycholinguistique des stratégies de langage inclusif révèle un paradoxe. Les études montrent que la stratégie la plus efficace pour corriger le biais mental masculin est la « reféminisation », qui consiste à rendre les deux genres explicites, par exemple à l’aide de doublets (« Françaises, Français ») ou du point médian (« Français·e·s »). Ces formes obligent le cerveau à prendre en compte explicitement les deux genres, ce qui élimine le déséquilibre dans les représentations mentales. Ce qui est perçu comme une « difficulté » ou une « fatigue visuelle » pour les critiques est en réalité le mécanisme même par lequel l’écriture inclusive parvient à son objectif cognitif. Le cerveau est contraint de briser son automatisme et de réaliser un effort de traitement qui aboutit à une représentation plus équilibrée.
L’argument d’un « effort inutile » est ainsi réfuté par les données empiriques qui montrent que cet effort a un effet direct et mesurable sur la cognition.
Les arguments contre l’écriture inclusive, tels que la perte d’une logique étymologique ou la confusion des genres , se heurtent à la démonstration scientifique que les représentations mentales stéréotypées existent déjà et sont renforcées par le système grammatical actuel. Les données indiquent que, loin d’être un débat purement esthétique ou politique, le choix des formes linguistiques a des conséquences cognitives concrètes.
De nombreuses langues, comme l’allemand ou l’espagnol, possèdent un genre grammatical qui s’applique non seulement aux personnes, mais aussi aux objets inanimés. La manière dont ces langues encodent le genre varie : le français et l’espagnol ont un système à deux genres (masculin et féminin), tandis que l’allemand en a trois (masculin, féminin et neutre).
Les recherches établissent une corrélation notable entre la présence de genre grammatical dans une langue et des niveaux d’égalité sociale entre les sexes plus faibles dans les sociétés qui la parlent. (Pas toujours j’y reviendrai)
Des études ont montré que les locuteurs de l’allemand et de l’espagnol attribuent des caractéristiques stéréotypées à des objets inanimés en fonction de leur genre grammatical. Par exemple, les locuteurs allemands, pour qui le mot « clé » (der Schlüssel) est masculin, le décrivent comme « dur, lourd et dentelé », tandis que les locuteurs espagnols, pour qui il est féminin (la llave), le décrivent comme « petite, jolie et dorée ». Cela suggère que le genre grammatical influence subtilement la conceptualisation des objets, contredisant l’idée que le genre grammatical est un marqueur purement arbitraire et sans conséquence.
Par contraste, d’autres langues, comme l’anglais (genre naturel) et le turc (sans genre), n’ont pas de système de genre grammatical. En anglais, le genre n’est marqué qu’au niveau des pronoms pour les personnes (« he/she/it »), tandis qu’en turc, ni les noms ni les pronoms ne portent de marque de genre. On pourrait penser que l’absence de genre grammatical élimine tout biais. Cependant, les stéréotypes de genre persistent à travers des marques lexicales et des « noms de rôles » fortement stéréotypés, comme « nurse » (infirmière) ou « mechanic » (mécanicien), qui sont généralement associés à un genre spécifique.
Quant à la société turque, il y a eu des hauts et des bas historiques égalité h/f à inégalité puis il y a eu la république kemaliste après 1923 pour réintégrer les femmes puis freinage etc… Donc la langue neutre VS société qui pèse son poid quand même.
Une étude psycholinguistique comparant des bilingues français-anglais a apporté une preuve directe de l’impact des structures linguistiques sur la cognition. L’étude a révélé que les représentations mentales de ces individus changeaient en fonction de la langue utilisée pour la tâche. En français, les représentations étaient dominées par le masculin générique, alors qu’en anglais, elles étaient basées sur les stéréotypes sociaux. Cette « flexibilité » des représentations cognitives démontre de manière concrète l’influence de la langue sur la pensée, même chez un même individu.
L’hypothèse de Sapir-Whorf qui explore la relation entre le langage, la pensée et la réalité. Formulée par les linguistes Edward Sapir et Benjamin Lee Whorf, cette hypothèse postule que la structure et le vocabulaire d’une langue influencent notre façon de penser, de percevoir et de comprendre le monde.
Historiquement, cette théorie a été scindée en deux versions : une version forte (le déterminisme linguistique), qui affirme que la langue détermine et limite la pensée, et une version faible (la relativité linguistique), qui soutient que la langue influence simplement la pensée sans la déterminer. La version forte est aujourd’hui largement réfutée par la communauté scientifique, car elle impliquerait qu’il soit impossible de conceptualiser des idées pour lesquelles il n’y a pas de mot dans sa langue, ce qui est contredit par l’expérience. Le consensus actuel en psycholinguistique soutient la version faible, qui est étayée par un ensemble de preuves empiriques.
Les recherches sur la conceptualisation du temps fournissent des illustrations claires de la relativité linguistique. Les locuteurs de l’anglais, par exemple, utilisent couramment des métaphores spatiales horizontales pour parler du temps, comme « le meilleur est encore devant nous ». En revanche, Lera Boroditsky a montré que les locuteurs du mandarin, qui utilisent fréquemment des métaphores verticales, conceptualisent le temps sur un axe vertical (« le mois prochain » se disant « vers le bas »). Ces locuteurs ont tendance à organiser mentalement les événements dans l’espace de manière verticale plus souvent que les locuteurs anglophones. D’autres études ont révélé que le sens d’écriture d’une langue (de gauche à droite en français, de droite à gauche en arabe) influence la manière dont les locuteurs organisent mentalement une ligne du temps. Cela suggère que les structures linguistiques de notre langue façonnent subtilement la manière dont nous nous représentons des concepts abstraits comme le temps.
L’influence de la langue sur la perception de l’espace est tout aussi frappante. Les langues utilisent des systèmes de référence différents pour situer les objets : un système « relatif » (ou égocentrique), basé sur la position du locuteur (« à ma droite », « derrière moi »), et un système « absolu » (ou allocentrique), basé sur des points de repère fixes (« au nord », « à l’est »). Les locuteurs de l’anglais et du français utilisent principalement un système relatif.
À l’inverse, les locuteurs du Kuuk Thaayorre, une langue aborigène d’Australie, n’utilisent que des directions cardinales. Pour dire bonjour, ils demandent « Où vas-tu? », et la réponse doit être « Au nord-est ». Boroditsky a constaté que, en conséquence, ces locuteurs ont une capacité innée à s’orienter dans l’espace qui est supérieure à celle des locuteurs de l’anglais. Leur langue les force à maintenir une conscience constante de leur position dans l’environnement. Cette découverte illustre comment les exigences grammaticales d’une langue peuvent forger une aptitude cognitive qui n’est pas présente chez d’autres groupes.
Et un dernier petit truc ….pourquoi les français ont des difficultés à apprendre les langues étrangères :
Bon il y a déjà l’apprentissage lui même, on ne fera pas de commentaire.
Chaque langue a sa propre « musique », c’est-à-dire une gamme de fréquences sonores qu’elle utilise.par exemple, les français.e.s parlent entre 1 000 et 2 000 Hz. Les Anglais quant à eux privilégient les zones de fréquences de 2000 à 16000 Hz, les Espagnols de 125 à 500 Hz, les Russes de 125 à 16000 Hz, etc. Par manque de stimulations, notre oreille peut se « fermer » à certaines fréquences. Le cerveau humain, dès la petite enfance, se spécialise pour reconnaître et reproduire les sons de sa langue maternelle.
* Difficulté d’écoute : Pour un Français, les sons de l’anglais (ou d’autres langues) qui se trouvent en dehors de sa bande de fréquences habituelle peuvent être simplement inaudibles ou difficiles à distinguer. C’est un peu comme essayer d’écouter une émission de radio sur une mauvaise fréquence.
* Problème de prononciation : Puisque l’oreille n’est pas entraînée à percevoir ces sons, la bouche a du mal à les reproduire. La prononciation devient un obstacle, ce qui peut générer un sentiment de gêne et de peur de faire des erreurs.
Bon, maintenant ce que j’en pense réellement, et là ce n’est pas l’IA qui parle. J’ai une vision différente, puisque mon cerveau n’est pas complètement « finito » sur certains aspects, d’où ma dysorthographie. Je vais accorder plus d’importance au fond qu’à la forme, car je ne vois pas vraiment les mots à la lecture, et encore moins leurs accords. Oui, je sais, cela peut paraître abstrait pour vous, mais je convertis tout en image très rapidement. Cela me demande un effort supplémentaire pour ne pas faire de fautes.
Du coup, je ne sais pas si mon influence (réelle) vient de la culture ou de la langue, sûrement des deux puisqu’après introspection, comme pour « les scientifiques » effectivement, je vais plus facilement l’associer mentalement à une image masculine.
L’adoption de l’écriture inclusive me demande autant d’effort et d’énergie que mon orthographe. De toute façon, je suis obligée de me relire mot à mot, en appliquant les règles grammaticales comme à l’école. Vous remarquerez que parfois, je vais faire plein de fautes et d’autres fois pas du tout. Cela dépendra de mon état de fatigue et si je dois y mettre la touche « ortho » ou non pour être prise « au sérieux ».
Même si je comprends l’importance que cela peut avoir… Ma propre règle l’emportera : le fond, l’analyse, l’argumentaire. Puis il y a ma plasticité cérébrale qui commence à prendre un coup de vieux 😅 et se repose sur des automatismes comme beaucoup, et c’est bien moins simple que si j’avais adopté l’écriture inclusive dès mon enfance.
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phoenix73
Membre24/08/2025 à 00:01 en réponse à: Le masculin l’a-t-il toujours emporté sur le féminin ?Je te remercie @inframince pour ton post fort intéressant et très riche, je n’avais pas connaissance de cette histoire de notre langue si riche (trop pour moi en vrai 😝)
Pour moi, le français est une langue vivante qui continuera d’évoluer avec les mœurs et les coutumes de l’époque, de la société. Je me demande qui de la poule ou de l’oeuf est arrivé en premier et qui influence quoi réellement ? Le patriarcat ou la langue ou c’est un va et vient???
Je suis assez d’accord avec l’usage puisque c’est une réalité, mais que mettons nous derrière ?
Je pense que l’éducation a un rôle important à jouer. Apprendre à nos enfants l’Histoire , l’évolution et les mécanismes du français est, à mon sens hein, une bien meilleure approche que de vouloir imposer des changements de manière autoritaire.
Ca me fait penser à l’écologie. On sait tous que le problème est là et qu’il faut agir, mais d’un côté, le changement ne peut se faire que si chacun.e y adhère de son plein gré, et non sous la contrainte parce qu’on ne peut pas adopter du jour au lendemain les mêmes pratiques partout , les territoires sont différents , les infrastructures sont différentes etc…. Pour moi, imposer des choses ne peut avoir qu’un effet inverse et créée une sorte de résistance, pour différentes raisons qui appartiennent à chacun.e selon les situations.
La langue, comme la société, ce n’est ni blanc , ni noir .
Pour moi et c’est ma vision des choses , l’évolution doit se faire « naturellement » par l’adoption de nouveaux mots ( et on le voit dans le dico qui chaque année intègre certains mots via l’usage justement), mettre de la compréhension d’où l’,importance d’expliquer ce genre de chose à l’école et aussi expliquer pourquoi le français est une chose si sacrée en France. Et l’adhésion viendra naturellement.
Apprenons à nos enfants à réfléchir par eux même, à se poser des questions sur tout et sur rien, parce qu’ils resteront les premiers vrais moteurs de ces changements mais on ne peut pas moudre du grain, sans grains.
En ce qui concerne le site et là je mets ma casquette d’admin , chacun.e est libre de s’exprimer comme iel le souhaite, tout comme toi @inframince et qui sait, tu feras peut être de nous des adepte 😁, j’ai l’impression qu’à force de lire ou d’entendre on finit par s’aculturer aussi.
Mais au fond ce qui est important c’est d’exprimer son avis , ses expériences, ses envies etc… Peu importe la forme que ça prend, la bonne orthographe, la bonne dose d’inclusivité … Personne ne fait tout bien, mais on fait du mieux qu’on peut, la langue est d’abord un outils de communication pour se comprendre, elle est aussi créatrice de lien , c’est aussi tout ça qu’il faut prendre en compte. Derrière les mots, il y a tellement de choses, des histoires, des émotions, des vies, l’écriture ne doit pas être le frein de son expression.
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Oui je sais, j’ai déjà essayé d’agir mais ça créé d’autres pbs puisqu’en faisant @pseudo ça met en place les notifs adéquats pour prévenir la personne cité sur plusieurs strates ( ça peut même envoyer des mails aux personnes si elles ont coché l’option). Il a du mal à gérer sur plusieurs personnes, mais je continue à chercher une solution sur le site test, pour pas tout bugger ici. J’ai un autre pb sur le fils d’actus concernant les outils de modération.
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Désolée @PtiVortexEnMouss mais je suis comme les filles, je ne ressens pas de nostalgie. J’ai eu de bons moments et de moins bons moments qui font ce que je suis aujourd’hui… et je rigole quand je repense à cette mini moi qui s’imaginait « femme » dans le futur.
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Bon j’ai une question presque à la con, pensez vous qu’on ressent tous la douleur avec la même intensité sur une même blessure ? J’ai lu des trucs sur ce qui fait le plus mal en 1) les céphalées en grappe 2) calculs rénaux 3) l’accouchement.
Mon accouchement ayant eu la sainte péridurale,voyez vous, pour moi c’était plutôt tranquillou contrairement à d’autres bobos où bordel.. ça fait mal. Je crois que se taper le petit doigt de pied, reste la douleur où je gueule le plus comme un putois.
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Non mais ma chérie tu sais bien que j’epile mes poils sur le torse moi 😆.
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Tu l’as éduqué à ton humour 🤣.
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phoenix73
Membre25/08/2025 à 16:48 en réponse à: Le masculin l’a-t-il toujours emporté sur le féminin ?Je vais parler factuellement parce que le fond du sujet est super intéressant et je pense que vous avez créé 2 sujets distincts :
Faut il imposer nos convictions qui nous paraissent juste aux autres et si oui , comment et pourquoi?
Et ça peut être un vrai débat, puisque chacun.e pense différemment
Et l’aspect psycholinguistique et sociolinguistique de notre langue sur la perception. Je suis en train de rechercher et je vous dirai ce que j’ai trouvé, mais factuellement dans la masse que j’ai pu lire , il semblerait que notre cerveau ne soit pas apte à être complètement neutre avec la règle du masculin qui l’emporte et qu’il y a un impact sur les représentations. Je regarde et je veux comparer avec les autres langues.
Même appris que notre langue influence notre perception du temps. J’y reviendrai.
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« cela me fait penser à l’espèce d’hystérique qui agite les réseaux sociaux car il n’y a pas de toilettes non binaire au musée du Louvre »
Pour la petite histoire, cette vidéo virale était une mauvaise blague qui a fait le tour de réseau, pour faire des vues à mon avis…. Et ça a fonctionné avec les réactions qu’on connait. Personne n’a déposé plainte ou que sais je encore.
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De ce que je me souviens, je calquais mes idées sur les modèles que j’avais autour de moi cad ma mère et ma grande sœur. Et le défi était grand, vu que j’étais très différente d’elles. Elles étaient très féminine et ma mère en l’occurrence avait pas mal de charisme. Donc j’étais un peu paumé, moi le « garçon manqué » comme on disait à l’époque, je voyais pas comment c’était possible…je me disais ça arrivera plus tard… Puis j’ai grandi…. Avec mon propre chemin.🙂
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Tu sais m’a plus grosse trouille, c’était d’accoucher et une fois enceinte, je me suis dit : » toute façon faudra bien qu’il sorte ce petit »… puis à la fin tu ne rêves que d’une chose, c’est que ce soit la fin, alors t’en as strictement rien à foutre d’avoir mal ou pas, t’y penses pas, tu veux crier libéréééééé délivréééééé