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Maisons partagées : Une solution pour la communauté LGBTQ+ vivant seule
Très beau sujet initié par notre amie Sunlight :
Vous vivez seul·e, sans enfants, et parfois, une petite voix dans votre tête murmure : « S’il m’arrive quelque chose, qui va s’en rendre compte ? »
Pour beaucoup de personnes LGBTQ+, cette question est bien réelle. La solitude peut peser, et trouver un logement inclusif, où l’on se sent en sécurité, n’est pas toujours évident. Les maisons partagées, comme le cohabitat ou le coliving, peuvent être une réponse. Elles créent des espaces où l’on vit ensemble, tout en gardant son indépendance, et où une communauté veille les uns sur les autres.
Inspirons-nous d’un exemple comme La Ménardière, mais en explorant des idées qui parlent à tous, pas seulement aux seniors, et voyons comment on peut répondre à ce besoin de sécurité et d’appartenance.
Qu’est-ce qu’une maison partagée ?
Les maisons partagées, c’est vivre ensemble, mais pas n’importe comment. Voici les modèles qui existent :
- Cohabitat : Vous avez votre propre espace, mais vous partagez des lieux communs (cuisine, salon, jardin) et vous participez à la vie collective. Ça favorise les liens et une entraide naturelle.
- Coliving : Très urbain, c’est un peu comme une colocation améliorée, avec des espaces communs stylés et souvent gérés par des entreprises. Idéal pour les jeunes ou les pros.
- Partage de domicile : Une personne (souvent plus âgée) ouvre sa maison à quelqu’un d’autre, en échange d’un loyer réduit ou d’un coup de main. Ça crée des ponts entre générations.
Ces modèles sont parfaits pour les personnes LGBTQ+ qui cherchent à se sentir entourées, sans sacrifier leur liberté.
La Ménardière : Une inspiration, mais pas la solution complète
La Ménardière, à Bérat, en France, c’est une belle maison du XVIIIe siècle transformée en habitat partagé : « Acheter à 14 un domaine sublime, emprunter, l’aménager… curieusement, c’est le plus facile : et puis, il y a ce « putain de facteur humain » comme il se dit chez ceux qui tentent de monter un « habitat partagé » durable. Alors, ça bouge, ça remue, ça tangue… ce n’est pas toujours facile, mais toujours passionnant : humain quoi ! Nous sommes donc toujours là et la première année se termine avec un programme d’été qui devrait vous ravir : car si une partie du domaine est un habitat, l’autre est ouverte au village et au monde avec des jardins qui de juin à septembre proposent : rencontres musicales, débats, théâtre, cinéma, ateliers… originalité de la chose : c’est en venant en « chambre d’hôtes » que certains ont proposé d’apporter leur participation aux manifestations de l’été.« . Ça nous inspire quand même, parce que ça montre qu’on peut créer des espaces où les gens se retrouvent et partagent des moments forts.
Des initiatives pensées pour la communauté LGBTQ+
Certaines solutions sont déjà là, conçues pour répondre aux besoins des personnes LGBTQ+ :
- Village Hearth Cohousing (Caroline du Nord, États-Unis) : Un projet génial pour les 55 ans et plus, mais ouvert à tous les âges dans l’esprit. 28 maisons accessibles, une grande maison commune pour les repas et des activités ensemble. Les résidents s’organisent en équipes, et si quelqu’un ne vient pas au dîner, tout le monde le remarque. C’est une réponse directe à « qui va s’en rendre compte ? ».
- Wellness Housing (Los Angeles) : Un programme de logements temporaires pour les personnes en transition, y compris LGBTQ+. C’est inclusif et centré sur le soutien.
- Stonewall Housing (Royaume-Uni) : Ils aident les personnes LGBTQ+ sans abri ou en situation précaire à trouver un logement sûr, avec des conseils personnalisés.
Ces projets montrent qu’on peut créer des espaces où on se sent chez soi, sans crainte de discrimination.
Les chiffres qui parlent (surement à revérifier pour la France)
Quelques données pour mieux comprendre :
- 55,5 % des adultes LGBTQ+ âgés vivent seuls, surtout les hommes gays et bisexuels (PMC Study).
- Les personnes LGBTQ+ sont plus souvent célibataires, sans enfants, et parfois éloignées de leur famille d’origine, ce qui augmente le risque de solitude (Campaign to End Loneliness).
- 48 % des couples de même sexe âgés ont été discriminés en cherchant un logement pour seniors (SAGE).
Ces chiffres rappellent pourquoi des solutions comme les maisons partagées sont cruciales.
Sécurité : Comment être sûr·e que quelqu’un veille sur vous ?
Pour répondre à la peur de « s’il m’arrive quelque chose », voici ce qui existe :
- La force de la communauté : Dans un cohabitat comme Village Hearth, si vous ne venez pas au repas commun, vos voisins le remarquent tout de suite. Des routines simples, comme un coucou entre colocataires, peuvent suffire.
- Technologies d’alerte : Des bracelets comme Acticheck (Acticheck) détectent les chutes, ou des systèmes comme Life Alert (Life Alert) appellent les secours en un clic. Des applis comme A-Alert (A-Alert) envoient des alertes régulières pour vérifier que tout va bien.
- Logements équipés : Au Royaume-Uni, certains logements ont des cordons d’alarme connectés à des centres d’urgence (NHS Telecare). Ça pourrait être intégré dans des maisons partagées.
Où trouver ces logements ?
Des plateformes facilitent la recherche de colocations inclusives :
- Queer Homes (Queer Homes) : Lancé en 2022, pour trouver des colocataires LGBTQ+-friendly.
- Gay Share (Gay Share) : En Australie, connecte des personnes LGBTQ+ pour des colocations depuis 1987.
- SpareRoom (SpareRoom) : Propose des annonces pour des colocations accueillantes au Royaume-Uni.
- Groupes Facebook (« Homes for Queers ») et Lex (Lex) : Des espaces pour poster des annonces et trouver des colocataires qui partagent vos valeurs.
Ces outils aident à créer des environnements où on se sent en sécurité et accepté·e.
Et demain, on fait quoi ?
Imaginez des maisons partagées avec des capteurs intelligents qui vérifient votre santé ou des applis pour organiser des check-ins quotidiens entre voisins. On pourrait aussi mixer les générations : des jeunes et des aînés LGBTQ+ vivant ensemble, s’entraidant. Ou encore des réseaux locaux où même des voisins extérieurs passent dire bonjour. Ces idées ne sont pas encore partout, mais elles pourraient changer la donne.
Et vous, ça vous parle ?
Les maisons partagées, c’est une façon de vivre ensemble, de se sentir entouré·e et en sécurité, surtout pour la communauté LGBTQ+ qui fait face à des défis uniques. Des projets comme Village Hearth ou des plateformes comme Queer Homes montrent que c’est possible. Mais il y a encore tant à inventer ! Seriez-vous intéressé·e par ce genre de projets ? Qu’en pensez-vous ? Comment imaginez-vous des solutions alternatives ?
Partagez vos idées, parce que c’est ensemble qu’on construit l’avenir.
Références
- La Ménardière – Cultural and Communal Gîte
- Village Hearth Cohousing – LGBTQ+ 55+ Community
- Queer Homes – LGBTQ+ Housing Platform
- Gay Share – Australian LGBTQ+ Share Accommodation
- SpareRoom – LGBTQ+ Friendly Flatshares
- Acticheck – Living Alone Alarm System
- Life Alert – Emergency Response System
- Wellness Housing – Transitional Housing Los Angeles
- Stonewall Housing – LGBTQ+ Homelessness Support
- SAGE – National LGBTQ+ Elder Housing Initiative
- Living Arrangement and Loneliness Among LGB Older Adults
- Marginalization and Loneliness Among Sexual Minorities
- NHS – Personal Alarms and Monitoring Systems
- A-Alert – Automated Alert Systems for Living Alone
- Habyt – Models of Shared Living
- Lex – Finding LGBTQ+ Roommates
*Article généré par IA – (Corrections, modifications et vérifications à 50%)
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